Les chiots : les nouveaux Crétins Caniche
La nébuleuse de la nuit : une nuit avec d'autres cousins
Attention ça pique un peu les oreilles à 0,51
Mise à jours du 20 09 12
( Quand vous vouliez dire ce matin après une nuit douce et chaleureuse ( t'inquiète pas Cousin tu peux pirater mon microphone j'ai tout ce qu'il me faut ) "tu fais chier tous le monde" vous vouliez sans doute dire que ce que vous représentez entrave avec talent le quotidien de ma "vie" )
( Quand vous vouliez parler de "ferme ta gueule" mais de quoi donc avez-vous peur )
Le profil psychologique du bruiteur par Ariane BILHERAN ( extrait du site AABV )
Les cycles du sommeil et perturbation du métabolisme
Les cycles du sommeil sont constitués d'une moyenne de 4 cycles ( entre 3 et 7 cycles suivant les individus ) durant dans les environs de 90 minutes, durant un cycle il y a plusieurs phases :
Stade 1 : la phase d'endormissement
durant cette phase, la personne peut être réveillé assez facilement puisque l'organisme réagi encore aux stimulis extérieur, la détente et le calme impose un ralentissement des activités du cerveau, cette période est la phase de somnolence.
Stade 2 : la phase de sommeil léger ( ou lent )
Stade 3 et 4 : la phase de sommeil lent profond à sommeil lent très profond
C'est dans cette période que l'on rencontre les phénomènes de somnambulisme ou de terreur nocturne fréquemment rencontré chez les enfants, le stade 4 est celui ou le dormeur se coupe de l'extérieur du monde
Le Stade 4 serait le stade des plus important puisque celui-ci à un rôle dans le système immunitaire
le Stade 3 et 4 sont d'ailleurs plus prononcé en début qu'en fin de nuit.
Stade 5 : le sommeil paradoxale
C'est dans cette phase que le cerveau recharge sa batterie et qu'il enregistre ce qu'il a appris la veille
le sommeil paradoxal est estimé à 25 % du temps de notre sommeil totale.
M. Christophe Bouillon, rapporteur. En propos liminaire, je citerai l’adage qui veut qu’« il faut faire beaucoup de bruit pour obtenir le silence ».
Il faut remercier un des membres rapporteurs sur le rapport d’information sur la lutte contre les nuisances sonores, car effectivement les silences du bruit doivent sortir du bois.
Lire la suite : Nuisances Sonores : le Harcèlement des Intégristes du Bruit
Avis aux marionnettistes :
Tout comme pour vos sales Chiots et votre Virus, les reflets du processus d'extinction, je continuerai à combattre votre nauséabonde Idéologie et dénoncerai vos actions Fachistes.
( Quand vous vouliez dire ce matin après une nuit douce et chaleureuse ( t'inquiète pas Cousin tu peux pirater mon microphone j'ai tout ce qu'il me faut ) "tu fais chier tous le monde" vous vouliez sans doute dire que ce que vous représentez entrave avec talent le quotidien de ma "vie" )
( Quand vous vouliez parler de "ferme ta gueule" mais de quoi donc avez-vous peur )
Le profil psychologique du bruiteur par Ariane BILHERAN ( extrait du site AABV )
Il existe des "bruiteurs" qui ne supportent pas, même lorsque c’est demandé très gentiment, de faire moins de bruit. Au contraire, la demande les excite davantage et le bruit, loin de cesser, risque bien de s’intensifier. Parfois même, le bruiteur augmente l’agression, qui peut devenir verbale, physique etc. Ce type de "bruiteur" est un profil intolérant à la moindre frustration, qui estime que le monde lui appartient, souvent avec un narcissisme fort et un sentiment de toute-puissance. De fait, ce bruiteur-là n’a guère accès au sentiment d’altérité (se mettre à la place de l’autre) ni à la limite de la loi (limite sociale) : il se croit au-dessus des lois, et ne supporte pas le moindre rappel à ses devoirs citoyens.
On parle souvent de pollution de l'air, du CO2, du gaz à effet de serre, des énergies fossiles, de l'eau de mer des océans, D'ElectroMagnétisme etc.... mais dans ce dossier et comme son nom l'indique, il s'agit de pollution sonore qui est un véritable fléau, les sources d'origines de cette pollution ne cessent d'augmenter, tout comme celui des bruiteurs ( toi aussi Mobster ) qui sont eux aussi des pollueurs parasites....
mise à part les faits et les preuves, il y a bien sur différente interprétation sur celui qui pollue et celui qui subi la pollution, les discothèques, les bars à proximité d'habitation, les zones aéroportuaires, Passage ferroviaire, les centres villes, l'hostilité de ces voisins, de ces Co-locataires ou sur son lieu de travail ( les open spaces notamment) reviennent souvent dans les discussions de pollution acoustique.
Malgré cette pollution prédominante, le bruit, n'apparaît pas comme une préoccupation environnementale majeur pour les Français, alors que ces gênes se retrouvent régulièrement en première ligne, ce paradoxe peut aussi s'expliquer sur l'échelle des priorités évoluant dans une époque au large tourment, pourtant cette pollution devrait s'inscrire comme une des priorités... car celle-ci engendre au fil du temps des dysfonctionnements physiques et psychiques pour ceux qui subissent ces pollutions, et suivant l'étendu du nombre de personnes il n'est pas idiot de s'intéresser à son impact sur la santé public Française, sur les dépenses que cela coûte à la Sécurité Sociale, car les effets délétère d'un bruit ne peut se répercuter que lorsque l'on rencontre plusieurs facteurs, l'intensité du bruit, sa durée, sa forme répétitive, mais aussi celui des conditions du contexte durant laquelle cette pollution évolue, ceci est effectivement important pour mesurer l'impact du Préjudice, et que l'on puisse avoir une bonne ou une mauvaise santé ces productions arrivent forcément un jour ou l'autre à détériorer son espace de vie, donc la qualité de jouissance de citoyen.
Les cycles du sommeil et perturbation du métabolisme
L'installation insidieuse de son hostilité doit mettre en garde la victime elle-même, car dans le cadre de nuisance sonore de nuit ( 23 H – 6 H ), son action perturbe les cycles du sommeil, certes nous ne sommes pas tous égaux devant le faite que notre sommeil soit lourd ou pas, cependant nous avons Tous des cycles circadiens ....( certains ne l'ont pas ignorés ) qui rythment nos biologies sur une période de 24, les phases de sommeil font partie de ces cycles.
Le rôle de notre sommeil est encore mal défini par les scientifiques, en revanche nous savons qu'il est vital pour notre équilibre et notre santé, et nous savons que la privation de sommeil s'inscrit dans une altération du métabolisme entravant la vie de la personne subissant les nuisances sonores, la perturbation de la qualité du sommeil durant ces phases de repos et de récupération entraîne logiquement une fatigue, entraînant à son tour un stress supplémentaire pouvant engendrer de l'irritabilité, puis à moyen terme les troubles cardiovasculaire et digestifs et pour certains c'est la direction dépressionnaire qui les guette, il faut avoir un mental en béton armée pour surmonter ces types de harcèlement ( je sais de quoi je parle ), sans compter les problèmes d'hypertension, d'une glycémie élevée, d'un taux élevé de triglycéride anormalement élevé, syndrome métabolique que l'on rencontre souvent dans certaine forme de Stress.......
Les cycles du sommeil sont constitués d'une moyenne de 4 cycles ( entre 3 et 7 cycles suivant les individus ) durant dans les environs de 90 minutes, durant un cycle il y a plusieurs phases :
Stade 1 : la phase d'endormissement
durant cette phase, la personne peut être réveillé assez facilement puisque l'organisme réagi encore aux stimulis extérieur, la détente et le calme impose un ralentissement des activités du cerveau, cette période est la phase de somnolence.
Stade 2 : la phase de sommeil léger ( ou lent )
Durant l'évolution de cette phase, le bruit ou la lumière ne peuvent en théorie entraver le sommeil, sauf si le bruit est assez fort pour rompre ce cycle, 60 db devrait être un bon seuil pour réveiller son voisin..... la personne est dite dans un état hypotonie relative, la respiration et le rythme cardiaque sont ralentis, le stade 2 est le stade le plus fréquent observé chez le dormeur car il y passerait 50 % du temps du cycle du sommeil durant une nuit.
Stade 3 et 4 : la phase de sommeil lent profond à sommeil lent très profond
Cette phase est une transition entre le sommeil moyen à celui du sommeil profond, les ondes cérébrales delta dominent l'activité du cerveau, cette période permet de disposer d'un sommeil réparateur effaçant la fatigue physique restaurant l'énergie, la température du cerveau est au plus bas
le rythme cardiaque, la respiration et la pression sanguine sont ralentis par l'influence du système parasynpathique.
Il est plus difficile d'être réveillé durant cette phase ( mais certains y arrivent bien )C'est dans cette période que l'on rencontre les phénomènes de somnambulisme ou de terreur nocturne fréquemment rencontré chez les enfants, le stade 4 est celui ou le dormeur se coupe de l'extérieur du monde
Le Stade 4 serait le stade des plus important puisque celui-ci à un rôle dans le système immunitaire
le Stade 3 et 4 sont d'ailleurs plus prononcé en début qu'en fin de nuit.
Stade 5 : le sommeil paradoxale
Paradoxal c'est le mot, l'activité cérébrale est proche de celle de l'éveil alors que le corps est est totalement relâché, la respiration et le pouls sont rapides et irréguliers, la température corporelle et la pression artérielle augmente, les yeux bouges et les muscles sont paralysés et c'est durant cette période que les rêves apparaissent.
C'est dans cette phase que le cerveau recharge sa batterie et qu'il enregistre ce qu'il a appris la veille
le sommeil paradoxal est estimé à 25 % du temps de notre sommeil totale.
Durant ces phases il est fréquemment observé des micro réveils durant la fin du cycle, ce bref réveil est normal et pour la plupart du temps la personne ne se souvient pas de ces éveils, sauf si en exemple un ou plusieurs bruits viennent se succéder aux changements de positions, par exemple de Droite à Gauche, là le bref éveil peut être synonyme de réveil.
Comme on le voit ci-dessus pas besoin d'avoir fait l'ENA pour comprendre que les cycles du sommeil sont très important pour maintenir sa santé, mais bien entendu l'influence extérieur ou intérieur du bruit n'est pas le seul facteur à prendre en compte dans la lutte contre les nuisances sonores, la qualité de l'isolation d'un bâtiment, d'un logement influence fatalement la facilité ou pas des origines du bruit ou des productions des nuisances sonores des bruiteurs ( troubles de voisinages notamment ) d'ailleurs on apprend beaucoup du profil psychologique des intégristes du bruit de ce que l'on nomme « voisin », alors que j'appellerais ces derniers des co-locataires violeur de tranquillité, dans certaines formes de harcèlement on peut les nommer « les Mobsters. »
On fait tous du bruit, ceci est un fait qui ne peut être discuté, en revanche lorsque la personne a identifié les bruits et les bruiteurs tout en sensibilisant les pollueurs, qui souvent font du bruit sans conscience de gêner leurs voisinages, là la personne peut vite mesurer les intentions de ces mêmes pollueurs, l'évolution ou pas est déterminé aux profils psychologique des pollueurs ( voir Intro du dossier ) et de la personne qui subis ces nuisances sonores.
M. Christophe Bouillon, rapporteur. En propos liminaire, je citerai l’adage qui veut qu’« il faut faire beaucoup de bruit pour obtenir le silence ».
Il faut remercier un des membres rapporteurs sur le rapport d’information sur la lutte contre les nuisances sonores, car effectivement les silences du bruit doivent sortir du bois.
Lire la suite : Nuisances Sonores : le Harcèlement des Intégristes du Bruit
Avis aux marionnettistes :
Tout comme pour vos sales Chiots et votre Virus, les reflets du processus d'extinction, je continuerai à combattre votre nauséabonde Idéologie et dénoncerai vos actions Fachistes.
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